• Autour de Friedrich Nietzsche

    Il a cru à la vie, à la créativité, à la santé, aux réalités du monde que nous vivons au dedans. Il a affirmé la vie, parce que la vie devait être affirmation. Il a combattu toute sa vie les hommes du ressentiment, qui niaient la vie pour ne pas l'avoir aimée assez fort. 

    Et quand la folie l'a emporté loin de ce monde, son premier geste désespéré a été d'embrasser un cheval qu'un cocher maltraitait. Il était folie du vivant et refus des mondes ossuaires et cimetières passés et à venir...

    « Qui regarde au-dedans de soi-même comme à l'intérieur d'un immense univers et porte en soi des voies lactées, sait aussi combien irrégulières sont toutes les voies lactées : elles conduisent jusqu'au fond du chaos et du labyrinthe de l'existence ». Friedrich NIETZCHE, le gai savoir.

    La vie ne me déçoit pas, je la trouve au contraire plus vraie, plus désirable et plus mystérieuse à chaque jour qui passe. La vie comme expérimentation de la connaissance, jamais comme fatalité ou tromperie. Et si pour autrui la connaissance est autre chose, comme un lit de repos ou un divertissement ou un loisir, pour moi elle est un monde de dangers et de victoires. La vie comme moyen de connaissance, pour vivre courageusement et « gaiement vivre » et « gaiement rire ». Qui saurait bien vivre et bien rire s'il ne s'entendait d'abord à guerroyer et à vaincre ? Et la première victoire est la victoire sur soi.

    « Plus d'un ignore ses richesses jusqu'au jour où il apprend que des hommes, même les plus riches, se font voleurs à son contact ». Friedrich NIETZCHE, le gai savoir.


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